L’ennéagramme excelle à vous aider dans vos actions de communication interprofessionnelle.

Pourquoi ?

Parce que c’est l’outil le plus expérimenté de connaissance du fonctionnement humain relationnel : d’abord le nôtre, puis celui des autres. Enfin il permet de comprendre les interactions générées, positives ou négatives, avec les autres personnes selon notre intelligence différente : dans notre vie professionnelle et plus particulièrement dans la pratique de notre communication interprofessionnelle.

Au final, le mieux-être de chacun en entité professionnelle permet à celle-ci d’atteindre ses objectifs quantitatifs : tout en vivant dans une ambiance de travail sereine, agréable et confortable pour toutes et tous ! Ce sont les résultats positifs de l’intégration de l’ennéagramme pour développer : l’intelligence collective ou le team building grâce aux soft skills.

 C’est ainsi que cet outil expérimenté a mis en évidence 3 grandes familles de communicants

Ces 3 « groupes » d’êtres humains, sans distinction de sexe, communiquent différemment parce qu’ils ont une intelligence dominante différente. Celle-ci est liée à leur émotion principale : la peur ou la tristesse ou la colère.

C’est pourquoi il est important, pour une communication interprofessionnelle efficiente, de repérer d’abord votre émotion-intelligence prépondérante ! Ensuite seulement vous tenterez de découvrir celle de vos interlocuteurs, afin de vous y adapter.

SAF.E vous livre ici un préalable très important pour accepter son émotion dominante peur ou tristesse ou colère : car elle va conditionner la communication interprofessionnelle dans votre entreprise, institution ou association.

– la peur ne signifie nullement que les personnes ayant cette émotion principale sont toujours en train de paniquer : NON pas du tout ! Cette peur s’exprime principalement par des questions parfois incessantes dans leur propre cerveau  : ainsi que par le fait qu’elles posent beaucoup de questions. D’abord pour bien comprendre et ensuite pour tenter d’anticiper la plupart des impacts possibles !

– la tristesse en émotion principale n’incite pas forcément les personnes de cette « famille » à pleurer souvent : NON ! Cette tristesse se traduit la plupart du temps par une sensibilité des cinq sens : c’est ainsi qu’une parole, odeur, couleur, sensation ou un goût peuvent entraîner une variation d’humeur.

– enfin, la colère ne signifie pas que les personnes qui la ressentent principalement sont tout le temps en train de : vous « enguirlander » ou de taper sur quelque chose ou quelqu’un ! NON, cela se voit sur leur corps qui peut se tendre ou prendre une attitude plus ou moins agressive ; ainsi que dans leur façon de vous parler, qui ressemblera souvent à « râler » ou « critiquer » ou « juger ».

Quelques traits concrets de la façon de parler ou décrire pour chacun de ces 3 types de communicants

* L’intelligence mentale dominante, (ou cérébrale ou intellectuelle) avec l’émotion principale « peur » fait poser beaucoup de questions quant au futur, même très proche. Les réponses permettent de calmer l’angoisse consciente ou inconsciente :

« Ne croyez-vous pas que…? »

« et si jamais…? »

« au cas où, mieux vaudrait… »

C’est un premier type de communication interprofessionnelle, assez présent chez les personnes plus attirées par la « stratégie ».

* Trop souvent en entité professionnelle on ne va pas considérer la sensibilité des personnes affectives. Dès le premier module de formation, on respectera donc l’intelligence affective (ou émotionnelle ou relationnelle) prépondérante. Elle s’intéresse d’abord à l’esthétique et aux personnes avec qui ou pour qui on va travailler :

« Quelle allure cela aura-t-il ? »

« Qui sera dans l’équipe-projet ? »

« C’est pour quel client, ou responsable ? »

Ce genre de communication interprofessionnelle n’est pas rare dans les équipes…communication. Intégrer ce besoin de ressenti et d’image à la gestion du stress est efficace pour atteindre les objectifs !

* Enfin, l’intelligence physique (ou corporelle ou instinctive) majoritaire est orientée « pratique », « concret » :

« A quoi ça sert ? »

« Faut que ça soit costaud »

« Ok et je prends en charge l’action ».

Ce troisième type de communication interprofessionnelle donne un ton assez direct, sans ambages.

Attention, un déficit de communication interprofessionnelle entraîne quelques fois

à se poser la question d’une éventuelle reconversion professionnelle.

Votre collaborateur ou salarié ou client ne sera donc pas « touché » par le même argument, selon son intelligence dominante

En effet on vient déjà d’apercevoir que cela entraîne un besoin de communication interprofessionnelle différent.